Guerres & Histoires

Guerres & Histoires, le nouveau trimestriel de la gamme Science & Vie, met l’accent sur les principaux conflits qui ont marqué notre histoire. Il s’attache ainsi à livrer une explication claire sur les protagonistes des grandes guerres, leurs stratégies et leurs technologies d’armement.

JEAN-LUC LELEU « À CHERBOURG, IL Y EUT DES REDDITIONS APRÈS DES SIMULACRES DE COMBATS » • Après sa monumentale monographie de la Waffen-SS, Jean-Luc Leleu revient avec un autre pavé. Combattre en Dictature explore, à l’intérieur du périmètre de la bataille de Normandie, le fonctionnement de la Wehrmacht pour identifier les comportements de ses hommes. Passionnant, novateur et brillant.

COMBATTRE EN DICTATURE. 1944 – LA WEHRMACHT FACE AU DÉBARQUEMENT

UNE DÉCOUVERTE QUI MÉDUSE

Frigo et clairon romains en Bulgarie et en Angleterre

ROB, LE CHIEN SAS QUI RAPPORTE GROS

LE DERNIER CHEF KHMER ROUGE FINIRA SES JOURS EN PRISON

LA DATE IL Y A 500 ANS…

Un document éclaire comment la guerre nucléaire a failli éclater en 1962

Lawrence regrettait la façon dont Londres a traité les insurgés arabes

UN GRAFFITI DE JÉRUSALEM PROUVE LE PASSAGE D’UN CHEVALIER SUISSE AU XVE SIÈCLE

Le changement climatique explique l’ascension et la chute de Palmyre

L’APPLET ÉMERGE DES VASES SUÉDOISES

Les lettres de Napoléon font recette

LE CHIFFRE 125 284

Un B-17 et un Kingcobra se percutent au Texas en plein meeting

DE L’ÉCOSSE À LA FLORIDE, LES CHIENS ET LA GUERRE • Les chiens sont-ils depuis toujours employés au combat ? Pas du tout ! C’est même rarissime, et les unités cynophiles sont très récentes. Pour autant, on en trouvait dans les armées médiévales et jusqu’au XVIIIe siècle. Mais à quoi servaient-ils ?

POUTINE A DU MAL À MOBILISER ? CE PHÉNOMÈNE N’EST PAS RÉCENT • Les gazettes se gaussent d’une mobilisation russe à retardement et en butte à des stratégies d’évitement. Cela prouve seulement qu’elles sont incultes autant qu’amnésiques.

LES CROISADES POURQUOI L’ÉCHEC • LANCÉES EN 1095 PAR UN APPEL DU PAPE À LIBÉRER LES LIEUX SAINTS, LES CROISADES MÉLANGENT PÈLERINAGE ET CONQUÊTE, SANS PLAN ÉTABLI. ELLES FINISSENT EN 1291 PAR UNE EXPULSION DU MOYEN-ORIENT. POURTANT, TOUT N’ÉTAIT PAS ÉCRIT D’AVANCE ET L’ÉCHEC FINAL TIENT AUTANT AUX CROISÉS EUX-MÊMES – DIVISIONS, DIVERGENCES SUR LES OBJECTIFS, MANQUE D’EFFECTIFS… – QU’À LA RÉSISTANCE D’UN MONDE MUSULMAN LUI AUSSI FRACTURÉ ET LOIN D’ÊTRE UNIFORMÉMENT HOSTILE.

DEUX SIÈCLES DE GUERRE POUR LA TERRE SAINTE • Presque deux siècles s’écoulent entre 1095, année du premier appel à la croisade par Urbain II, et 1291, date de la chute de Saint-Jean d’Acre, le dernier bastion franc au Proche-Orient. La période n’a rien d’homogène : à l’expansion soudaine des débuts succède une longue et lente dégénérescence, résultat de l’incapacité respective de mondes chrétiens et musulmans déchirés à se mobiliser et à s’unir.

« LA CROISADE N’A PAS POUR BUT D’ÉLIMINER L’ISLAM MAIS DE LIBÉRER JÉRUSALEM » • La croisade est avant tout un élan religieux transformé par les circonstances, et sans préméditation, en entreprise politique. Certains participants en ont certes retiré avantage, mais il s’agit avant tout d’un pèlerinage en armes, pas d’une entreprise coloniale, souligne l’historien Sylvain Gouguenheim.

LA CROISADE, UN MOT TARDIF

CROISÉES POUR LE MEILLEUR ET POUR LE PIRE

L’ÉCHEC DES CROISADES, UNE ISSUE LOGIQUE… QUI POUVAIT ÊTRE ÉVITÉE • Malentendus et rivalité stérile avec les Byzantins, querelles politiques et religieuses, maladresses locales, ambitions personnelles, infériorité numérique et tactique ont fini...