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HS No. 16
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HS No.14
No. 69
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HS No. 12
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HS No. 11
Guerres & Histoires, le nouveau trimestriel de la gamme Science & Vie, met l’accent sur les principaux conflits qui ont marqué notre histoire. Il s’attache ainsi à livrer une explication claire sur les protagonistes des grandes guerres, leurs stratégies et leurs technologies d’armement.
LE DÉMINAGE PEUT RÉSERVER DES SURPRISES
Les dents des hoplites confirment le scénario d’Himera
CE TRÉSOR D’ARGENT POLONAIS A PEUT-ÊTRE SAUVÉ PARIS DES VIKINGS
LE CHIFFRE 39 %…
Le légionnaire d’Herculanum serait mort pour sauver les victimes du Vésuve
L’Allemagne reconnaît officiellement le génocide namibien
LE CANADA S‘EXCUSE AUPRÈS DES CANADO-ITALIENS MALTRAITÉS PENDANT LA GUERRE
LA POULAINE, C’ÉTAIT PAS LE PIED…
Les Chickasaws ont recyclé les armes des conquistadors vaincus
LA « PLUS ANCIENNE DES BATAILLES » ÉTAIT PLUTÔT UNE SUCCESSION DE RAIDS
Les cimetières racontent le peuplement de l’Angleterre saxonne
Le rapport américain sur les OVNI fait flop
LA DATE IL Y A 300 ANS…
AFRIQUE DU NORD, 1940-1943 : SANS HAINE, VRAIMENT ? • À contre-courant de l’idée reçue selon laquelle les combats menés en Libye, en Tunisie et en Égypte auraient été nobles et loyaux, l’historien Patrick Bernhard démontre que les violences de guerre, là aussi, ont été nombreuses.
« LA FRANCE A ÉTÉ UNE CIBLE PRIVILÉGIÉE DES JIHADISTES, MAIS PAS LA SEULE » • La gravité des attentats commis en France laisse penser qu’elle est, plus que les autres pays occidentaux, dans la ligne de mire des jihadistes. Élie Tenenbaum, auteur d’une histoire du phénomène, revient sur son importance réelle ou supposée dans l’Hexagone.
LA GUERRE DE VINGT ANS. DJIHADISME ET CONTRETERRORISME AU XXIE SIÈCLE • Marc Hecker et Élie Tenenbaum, Robert Laffont, 448 p., 24,90 €
LES GUERRES N’ONT PAS FINI DE TUER • De tout temps, les concepteurs d’armes nouvelles se sont imaginé que leurs inventions rendraient les guerres moins meurtrières, la technique y mettant plus vite un terme. Oubliant que ce postulat n’est valable qu’en cas de déséquilibre patent des forces, ce que la mondialisation rend improbable.
NOUVEAUTÉ ! La boutique
LA BELLE MARINE DE LOUIS XIV LA FRANCE POUVAIT-ELLE DOMINER LES MERS ? • RESSUSCITÉE LITTÉRALEMENT PAR COLBERT APRÈS DES DÉCENNIES DE NÉGLIGENCE, LA MARINE DE LOUIS XIV DEVIENT LA PREMIÈRE DU MONDE DÈS 1675 ET LE RESTE JUSQU’AU TOURNANT DU SIÈCLE. VALEUREUSE, BIEN ARMÉE, ELLE DAME LE PION À SES REDOUTABLES RIVALES BRITANNIQUE ET NÉERLANDAISE AVANT DE DÉPÉRIR, FAUTE DE MOYENS HUMAINS ET FINANCIERS MAIS AUSSI ET SURTOUT D’UNE VÉRITABLE AMBITION STRATÉGIQUE : LE ROI-SOLEIL REGARDE PLUS VERS LE RHIN QUE VERS L’OCÉAN.
UN SEUL RÈGNE POUR TROIS MARINES • Colbert, Colbert-Seignelay, Ponchartrain père et fils : les trois noms des secrétaires d’État de la Marine jalonnent l’histoire navale sous Louis XIV. Et marquent schématiquement trois époques : la renaissance des débuts du règne, l’apogée et le déclin.
LE ROI ÉTAIT-IL PLUS FAMILIER DU SOLEIL QUE DE LA MER ?
FORCES ET FAIBLESSES DE LA PREMIÈRE MARINE DU MONDE • Dès la fin de la guerre de Hollande, le pari de Colbert de faire de la Royale la première marine du monde est réussi. Mais si la flotte est remarquablement équipée et se bat bien, il lui manque deux éléments clés pour vraiment dominer ses rivales : des ressources humaines et, sur la fin, financières.
LA LIGNE DE FILE : UNE NOUVEAUTÉ ANGLO-HOLLANDAISE
LA COURSE, ARME COMPLÉMENTAIRE
CINQ MAUVAIS CHOIX QUI ONT COÛTÉ CHER • L’échec relatif de la politique maritime de Louis XIV repose fondamentalement sur...
